Nos Poèmes

Ô grand et impériale Seigneur,
Dirige moi vers un monde en pleine lueur,
Dans un lieu ou la chaleur,
Pourra réveiller mon cœur.

Si je suis un défaut,
Epargne moi la vie de héro,
Montre moi le monde d'en haut,
Pour lui avouer que son visage est le plus beau.

Même sans présage,
Je souhaite rester capable,
De montrer que je suis sage,
Pour lui avouer mes douce parole intarissable.

Je ne vis que pour te servir,
Dans ce royaume ou je suis sans vie,
Mais je reviendrais pour ne plus jamais mourir,
Auprès de celle qui me rendra l'envie.

Le monde de mes désirs
par poisson volant (Mayki)

Ô Poséïdon, dieu des mers,
donne moi le courage de lui dire ces quelques vers,
je ne suis qu'un simple poisson,
qui souhaite voir le chose dans leur vrai fond.

Quand ses yeux se ferme,
les océans sont en colère,
quand ils s'ouvrent avec des larmes de misère,
ce sont des tempètes qui se forme.

Son sourire fait hurler les vagues,
Son regard créer des orages,
Sa voie coupe toutes les mers,
et son esprit ouvre le monde des abysses.

Pauvre poisson que je suis,
cherche un monde ou je suis bien,
un monde ou tout n'est rien,
et qui me montre celle qui me poursuis.

Elle n'est pas comme les autres,
elle me transporte,
me fait rêver dans ses moment ou l'on pense à elle
mais reste toujours avec moi.

L'océan est grand et vaste,
cette personne n'est rien de plus que le monde dans lequelle je veux vivre,
quand l'onde océane me pousse, je nage et semble flotter dans le ciel.

Je suis le premier poisson qui vole,
elle est la seule chose qui me maintient en vie,
je veux rester avec elle sans penser au reste.

Je nage et nage encore,
cette fois elle me suis,
les vagues sont belle,
les éclats ressemble à un visage,
je l'ai enfin conquis et trouver ce monde.

L'océane est partout,
et peut importe ou je suis,
elle est avec moi,
elle ne me quitte plus,
mais je suis si bien avec elle,
que mon avenir sera toujours avec elle.

[MAYKI]

Dernier Message

Dans ce paradis de l'obscurité.
Existe-il une lueur éclairée,
Est-ce un mensonge ou bien un rêve ?
Je veux la voir même si elle est brève,
Quitte à perdre mon corps,
J’obtiendrait cette accord,
J'obtiendrai de mon esprit,
Tout ce dont j’aurais appris.


A l'entendre, j'éclate en sanglots,
Telle une vague de chaos,
La vie est si fragile et si vaine,
Lorsqu’elle n’est remplîtes que de peine,
Les larmes coulent comme une fontaine,
Lorsque la tristesse en est reine,
Mais la vie coule dans nos veines,
Et c’est la plus grande aubaine,
Car il y a en nous une graine,
J'en ai fais le tour,
Et je ne ferais pas de retour,
La mort me fait peur,
Elle frappera avec stupeur,
Quand à la haine et la tristesse,
Elle ce retrouve dans une étroitesse,
Et entre elle, elle s’assassine,
S'entremêlent dans ses racines,
La solitude m'envahit,
Mais cette force prouve sa vie.
Un gémissement réveille en ma mémoire,
L'amour et la haine d'un soir,
Le passé et le présent,
Sont dorénavant absent,
Il sont balayés par la marée,
Qui ne retiendra pas se sentiment rêvé,
Et l'on verra si elle réussira,
Mais par sa force elle réunira,
Une armée qui me renversera,
Mon âme imperturbablement,
Commence à bouger doucement,
Pour atteindre son but,
Un oublie brute,
Il y a tant de traitres mots,
Et aucun ne me parait beau,
Qu'on ne peut les tenir entre nos mains,
Mais aucun de s’abstiens,
Il y a quelques temps, quelques heures,
Mon cœur était un étant de bonheur,
Je croyais être amoureux,
Je pensais être heureux,
Mais je ne veux plus y penser,
Je ne veux plus m’en soucier,
Quand à l'amour et aux regrets,
Tant pis je n’ai pas ce que je désirais,
Ils sont enveloppés dans ces feuilles,
Et j’en ai enfin fait le deuil.


Un jour ou l'autre, tant l'espoir que le désespoir,
Disparaitrons dans les méandres de l’histoire,
Ils ne deviendront plus rien,
Juste un vide sans fin,
La vérité se trouve ici,
Au fond de notre esprit,
Mais les mots douloureux existent,
Et leur but ne sont pas qu’égoïste,
Néanmoins ils demeurent,
Et jamais ils ne meurt,
Leurs sons font grincer mon cœur,
Ce grincement emplis de douleur,
Jusqu'à présent, je retiens mon souffle,
Alors que je m’étouffe,
Comme une fleur qui se dessèche,
Elle possède des brèches,
Et se bat afin de vivre de la terre,
Mais mon cœur ne veux se taire,
Le requiem funéraire résonne,
Balayé par le vent qu’il empoisonne,
Et dans les cœurs il s‘abandonne,
Un jour peut-être il finira,
Mais seul l’avenir nous le diras.


Semblent immobile et à ne finir jamais,
Mais une chose en nous étincelais,
Donnez-moi l'espoir grâce à l'amour,
Mais je sais que j’ai un compte à rebours,
Sous une pluie qui tombe fortement,
Et toute cette pluie je l‘attend,
Cette pluie m’a enlever le sourire,
M’a fait oublier comment chérir,
Mais je me retiens de courir,
Ma douleur n'est pas d'accord avec le monde,
Et pourtant tout ce passe en une seconde,
Si mon cœur va sécher et mourir,
Il faudra alors le faire fleurir,
Mais une fleur dans des vagues furieuses,
Ne peut être affectueuse,
Montre la voie et surmonte ce vent,
Pour que ton amour ce porte en avant,
Ne marche pas fermement sur la terre sèche,
Car tu n’agrandira que la brèche,
Allez-y ! vous pouvez marcher tout droit,
Le rêve qui était censé être ici,
Ne se retrouve quand déficit,
Et les espoirs et les désirs que j'avais oubliés,
Abiment mon cœur rouillé,
Un cri que je pousse profondément à l'intérieur,
C'est comme pour fuir la douleur,
En croyant en rien,
J'ai embrassé des doutes sans fin,
Plutôt que de se lamenter sur le présent,
Je dois avancer moi aussi en avant,
Je dois chantez loin,
Et laissez l’éco être mon témoin,
De ma chanson sans rage,
Elle sera une lumière dans le ciel en naufrage.


Regardez devant vous, et de concentrez-vous,
Afin de récupérer vos souvenirs de joie et de bonheur,
Celle ou vous étiez ensemble de longues heures,
Chacun dans ce monde les cherches,
Et lève les mains sans perche,
Les cherchants continuellement,
Pour espérer éternellement,
Sans réserve, je m'en remets à vous,
Montrer la voie, celle sans verrou.

Ceci est mon dernier message,
Car c'est mon dernier passage.